[PC]- Assassin Creed

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Kaine
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[PC]- Assassin Creed

Message par Kaine » sam. mai 17, 2008 16:57

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Le moins que l'on puisse dire, c'est que la première production Next Gen d'Ubisoft Montréal aura su se faire désirer. Il faut dire qu'avoir la récente trilogie Prince of Persia sur son C.V. est le genre de choses qui aide à attiser l'envie des joueurs. Les Québécois n'ont d'ailleurs pas hésité à se prendre pour Hideo Kojima en distillant des infos au compte-goutte et en jouant la carte du mystère autour du background réel de leur titre. Assassin's Creed arrive donc avec de lourds espoirs pesant sur ses épaules. Reste à savoir s'il faudra le classer parmi les expériences hors du commun ou les déceptions prévisibles.
Assassin's Creed nous entraîne en Terre Sainte à la fin du XIIème siècle lors de la Troisième Croisade, "la croisade des Rois". L'époque n'est donc guère paisible dans ces régions déchirées par la guerre et les manigances géopolitiques. Altair, notre héros, évolue ainsi dans ce contexte pour le moins délicat en tant que membre de la confrérie des assassins. Impétueux et trop sûr de lui, ses actes vont vite avoir des conséquences dramatiques en mettant en grand danger les siens. Il devra donc se racheter en prouvant son entière dévotion à la confrérie et se voit déchu de son rang et contraint d'obéir sans mot dire aux moindres désirs de son maître. Le voici du coup entre Damas, Acre et Jérusalem, une liste noire de neuf noms en sa possession : ses neuf futures victimes...
Héros déchu, contexte trouble, personnages ambigus... Ubisoft Montréal n'a pas lésiné sur les artifices scénaristiques pour mettre sur pied une trame complexe et intéressante pour Assassin's Creed. Plongé dans ce lointain passé sous les traits d'Altair, on se sent vite un peu perdu au milieu de ces tensions politiques entre Templiers, Anglais et Sarrazins, avec en plus la sensation de plus en plus tenace de n'être qu'un vulgaire pion sur un échiquier qui nous dépasse totalement. Le jeu, en tout cas, ne se prive pas de développer tout cela lors de nombreuses cut-scenes offrant aussi bien des têtes-à-têtes avec des membres de votre confrérie, des discussions épiées au détour d'une promenade dans les villes ou, plus original, en "dialoguant" avec vos victimes avant qu'elles ne rendent leur dernier souffle. Généralement, le jeu vous laissera le contrôle de la caméra ou/et d'Altair pendant ces moments, histoire qu'ils conservent un semblant de dynamisme et pour vous occuper un peu également, mais il n'empêche que cette tendance au blabla pourra agacer les impatients, d'autant que le jeu ne permet pas de les zapper. Quoi qu'il en soit, Assassin's Creed réussit à planter un décor crédible et mature vraiment intéressant à découvrir et explorer.
Il n'aura, bien sûr, échappé à personne qu'Assassin's Creed cachait aux joueurs un mystère important au sujet de son background. Mais, comme cela commençait à devenir prévisible, celui-ci n'est finalement pas si estomaquant que cela. Ceux qui s'attendaient à incarner Raiden à la place de Snake ou un Covenant à la place de Master Chief risquent de trouver le twist un peu décevant. En fait, le vrai problème vient du fait que ce fameux secret est dévoilé bien trop tôt dans l'aventure et que, même s'il apporte un certain rythme à l'ensemble, il aurait sans doute été plus malin de le garder au chaud quelques heures afin de conserver l'effet de surprise. On évitera d'en dire plus pour éviter de spoiler inutilement, mais tout cela manque de subtilité et de finesse, comme si cet aspect du jeu avait été traité à la va-vite au dernier moment. Preuve, en tout cas, qu'il vaut mieux avoir du répondant quand on fait à ce point son malin.
L'aventure d'Altair est donc rythmée par les différents assassinats ordonnés par le maître de la confrérie. Après avoir reçu ses ordres, celui-ci partira de la citadelle des assassins surplombant le petit village de Masyaf et se rendra au choix à Damas, Acre ou Jérusalem pour exécuter sa mission... et sa proie. Mais avant de parcourir les ruelles bondées de ces grandes villes, Altair devra traverser le Royaume à cheval. En effet, à la manière d'un Oblivion, Assassin's Creed propose un vaste monde à explorer au-delà des fortifications des cités où se déroulent les missions. Malheureusement, même si ces passages permettent de donner une véritable cohérence et consistance à l'univers du jeu, on ne peut que regretter le vide ludique qu'ils représentent. En effet, en dehors de quelques secrets à découvrir (comme les paquets de GTA), quelques gardes qui ne manqueront pas de vouloir votre peau dès que vous galoperez trop vite et quelques tours de gardes à escalader pour observer les environs, le Royaume ne propose rien de concret pour nous occuper. Pas même un villageois à sauver, un méchant à empaler ou deux trois trucs à voler... Rien. Les balades à cheval sont certes plaisantes et permettent de faire un peu de tourisme entre deux meurtres, mais à quoi bon se coltiner un tel boulot pour ne pas y avoir glissé quelques missions secondaires qui font toujours plaisir ? Au final, ces passages à cheval évoquent donc plus ou moins les tant décriés voyages en bateau de Link dans The Wind Waker. Il ne faudra finalement rien en attendre d'autre que celui de jouer le rôle de liant potentiellement lassant pour une aventure nerveuse et bourrée d'action. On finira donc par se concentrer sur les missions directement en zappant ces passages comme cela est permis une fois la première moitié du jeu passée.
Mais, à peine arrivé au pied des fortifications de la cité où vous attend votre future victime, les choses changent du tout au tout et deviennent terriblement sérieuses. En ces temps de guerre, les gardes sont, en effet, très nombreux et sur le qui-vive. Ils vous auront donc toujours à l'oeil, prêts à se jeter sur vous à la moindre entourloupe. L'exploration des villes vous imposera donc la discrétion soit en vous fondant dans la masse, soit en fonçant avec souplesse et agilité de toits en toits. La maniabilité d'Assassin's Creed a ainsi été pensée en fonction de ces deux attitudes et les actions possibles se partagent ainsi entre mode Passif et mode Actif. Le premier est celui par défaut : Altair marchera normalement et pourra pousser doucement les personnes croisées pour éviter les bousculades rarement discrètes (en restant simplement appuyé sur Rond) et se noyer ainsi dans la foule. Si les gardes se montrent malgré tout trop pressants, un coup sur Croix et il baissera alors la tête en joignant les mains pour jouer au moine et troubler son monde. Quel fourbe !

Mais c'est évidemment le mode Actif qui retiendra l'attention des amateurs d'acrobaties. En effet, il suffit de presser la gâchette de droite pour qu'Altair se sente soudain pousser des ailes. Il se mettra à courir (et même sprinter en appuyant sur Croix) et sera surtout capable de grimper sur les murs, sauter comme une gazelle et profiter de la moindre aspérité d'une surface pour l'escalader en un clin d'oeil. Pas la peine de cliquer sur trente-six boutons ou passer trois plombes à évaluer les distances, ici tout est simple, intuitif, souple, vif... Voir Altair évoluer dans le jeu est tout bonnement hallucinant. On apprend très vite à dompter ses capacités hors du commun et à repérer tous les éléments du décor qui l'aideront dans ses frasques périlleuses. Grâce à une maniabilité parfaitement calibrée et à un level design impressionnant, on prend un pied pas possible à parcourir les villes du jeu sans contrainte et sans prise de tête. Articulée autour d'un seul bouton, la maniabilité du jeu pourra certes paraître simpliste aux yeux de certains, mais elle demande tout de même de la finesse et une certaine dextérité pour être capable d'agir vite et bien. Et ce ne sera vraiment pas du luxe dans certaines situations.
Car notre héros n'est pas là que pour épater la galerie avec ses cascades de kakou. Assassin avant tout, son objectif premier est de faire couler le sang des salauds. Plutôt mal vue par les autorités, son activité lui causera très souvent des soucis et jouer les princes de Perse sous stéroïdes sera indispensable pour espérer distancer ses poursuivants et pouvoir à nouveau prétendre à l'anonymat. L'I.A. des gardes est, en effet, assez sensible et il ne faudra parfois pas plus d'un regard de travers ou d'une bousculade un peu brutale pour que ceux-ci réalisent que sous votre capuche blanche se cache un dangereux criminel. Ils s'empresseront alors de donner l'alarme et de rameuter si possible quelques copains aux alentours pour vous encercler toutes épées dehors. Fuir sera ainsi souvent la solution pour éviter les ennuis. Assassin's Creed propose quatre moyens imparables de disparaître : sauter dans un tas de foin, vous assoir discrètement sur un banc, vous dissimuler derrière de longs draps ou vous mêler à un groupe d'érudits méditant tranquillement en marchant. Après quelques secondes dans ces "cachettes", les gardes lâcheront l'affaire et retourneront à leurs occupations de gardes. Voilà qui est donc bien pratique et qui servira très souvent, mais il faudra par contre veiller auparavant à être hors de vue, d'où des galipettes et des courses effrénées pour que ces satanés soldats arrêtent de vous coller aux baskets. Car n'allez pas croire qu'ils se contenteront de vous regarder grimper sur un mur et de vous laisser filer par les toits ! Agiles et téméraires, ils tenteront toujours de vous suivre dans les moindres recoins des cités du jeu. Leur efficacité dans ces cas-là paraît d'ailleurs quelque peu en décalage avec leur incapacité à vous reconnaître lorsque vous mimez un moine ou que vous vous asseyez sur un banc après avoir commis un carnage. Si l'on est tenté d'excuser ces incohérences dans le comportement de l'I.A. quasi indispensables pour que le jeu reste fun, elles auraient bien mérité d'être un brin mieux justifiées et mises en oeuvre. Quoi qu'il en soit, la seule issue sera donc parfois de cesser de fuir et de faire face aux soldats qui vous pistent et de passer en mode combat en lockant l'un d'entre eux pour s'en débarrasser une bonne fois pour toutes.
l'instar des phases d'exploration acrobatique, les combats d'Assassin's Creed semblent garder également un lien de parenté avec ceux de la trilogie Prince of Persia. On retrouve ainsi ce goût des Montréalais pour les joutes volumineuses avec un tas d'ennemis encerclant notre brave Altair, même si la tendance à la confusion laisse ici place à un ballet sanglant particulièrement bien chorégraphié. Epée en main, Altair ne perd rien de son agilité et exécutera ses assaillants avec une classe peu commune. Là encore, il faut jouer de la gâchette pour passer de configuration de touches entre attaque et défense. Notre assassin pare donc la plupart des coups très facilement et attaque plus ou moins fort selon le temps appuyé sur le bouton d'attaque. Mais la clé de la victoire réside dans votre capacité à esquiver et contre-attaquer votre ennemi avec le bon timing. En cas de réussite, Altair se fera un plaisir d'achever sa victime lors de mouvements aussi classieux que douloureux. Certains regretteront sans doute le caractère trop scripté de ces combats potentiellement plus spectaculaires à voir qu'à jouer. Pourtant, tout comme pour les séquences de plates-formes, les prouesses d'Altair à l'épée requièrent une bonne dose de sang froid et de finesse. Le système d'attaque/contre-attaque, qui apparaît au départ bien simple, sait s'étoffer et se complexifier au fil de l'aventure, avec, par exemple, des ennemis qui briseront plus facilement votre garde et qui n'hésiteront pas à faire des feintes de corps pour divertir votre attention tandis qu'un de leurs collègues vous attaquera par derrière. Bref, s'il sait se montrer intuitif, ce système demandera pas mal de maîtrise, notamment dans les derniers combats du jeu qui ne vous feront pas de cadeau. Les adeptes de combos à la Street Fighter regretteront peut-être son étroite marge de manoeuvre, mais le spectacle est bel et bien au rendez-vous.
Fort de ses incroyables aptitudes d'acrobate et d'épéiste, Altair devra donc mener à bien neuf assassinats. Ceux-ci se déroulent, grosso modo, de la même manière. Dans un premier temps, il faudra donc se rendre dans le Bureau des assassins local pour être briefé sur notre future victime. Ensuite, on escaladera certains points élevés de la ville, les Viewpoints, pour observer les environs et dévoiler alors les missions secondaires, la position des "cachettes", etc. Assassin's Creed propose, en effet, une carte relativement détaillée qui restera floue tant que vous n'aurez pas fait un peu de grimpette. Non content d'exécuter cette impressionnante gymnastique pour atteindre le haut d'un clocher, d'un minaret ou d'une tour de garde, vous profiterez en plus d'une séquence de toute beauté avec un Altair plus poseur que jamais, dominant la ville dévoilée lors d'un travelling aérien qui fait toujours plaisir.
Mais après ces réjouissances touristiques, il sera temps de mener l'enquête pour glaner le maximum d'informations et préparer au mieux votre opération. Chiper à un gars quelque document capital en jouant les pickpockets, en suivre un autre jusqu'à une ruelle sombre avant de le rosser copieusement pour qu'il lâche de précieuses infos ou encore exécuter discrètement et en temps limité deux ou trois cibles pour le compte d'un camarade assassin... Toutes les manigances sont bonnes pour trouver le meilleur moyen d'atteindre votre cible. Dommage, en revanche, que le jeu ne varie pas plus les situations de recherche qui ont tendance à se répéter d'une mission à l'autre. Il y aura généralement six objectifs secondaires disponibles pour chaque assassinat, mais vous pourrez faire votre rapport au Bureau des assassins dès que vous en aurez réalisé trois. Dès lors, il sera temps d'aller trouver votre cible. Généralement à l'abri dans quelque lieu sérieusement gardé, vous devrez trouver un moyen de l'approcher discrètement en vous fiant à votre instinct ou, mieux, en profitant des informations découvertes un peu plus tôt. Pour l'assassinat en tant que tel, l'idéal sera de faire montre de discrétion jusqu'au bout en usant de vos talents du mieux possible, mais les pressés pourront toujours foncer dans le tas et choisir d'affronter les très nombreux gardes et votre cible dans des combats généralement acharnés.
Misant sur la liberté d'action, Assassin's Creed ne fait que vous confier les moyens de commettre au mieux vos missions. Ainsi, même s'il sera en opposition avec le principe du jeu, un comportement bourrin ne sera quasiment jamais synonyme de game over. Le challenge de la finesse et de la discrétion ne s'impose donc pas au joueur directement qui devra lui-même poser ses limites et s'auto-discipliner pour être le meilleur assassin possible. Un choix discutable, mais qui a le mérite de laisser le joueur libre d'aborder l'aventure comme il le souhaite. Quoi qu'il en soit, malgré toutes les précautions des joueurs les plus pointilleux, un assassinat réussi aura toujours pour conséquence de mettre l'ensemble des gardes de la ville en émoi. Il faudra donc prendre ses jambes à son coup et disparaître au plus vite pour éviter de mal finir. Là encore, la fuite pourra avoir été réfléchie et préparée (en ayant auparavant repéré votre chemin de retour et éliminé les gardes postés à proximité) ou plus improvisée en comptant sur les talents d'Altair pour se sortir de cette situation délicate. Une fois de retour au Bureau des assassins avec une preuve de votre forfait, la mission sera terminée. Il sera temps de rentrer à Masyaf.
Si la mécanique du jeu ne change jamais et peut se montrer assez rigide, les circonstances de chaque mission, elles, permettent d'offrir la variété nécessaire à notre épanouissement dans ces situations toujours tendues et mouvementées. En outre, vos cibles seront situées dans des quartiers différents, débloqués au fil de votre progression (chaque ville en comprend trois). De par son gameplay ouvert et ses environnements vastes et complexes, Assassin's Creed saura, de toute façon, toujours proposer des situations inédites, différentes, et de plus en plus complexes à dénouer. S'il manque objectivement de variété, le challenge ne manque ni de piquant ni de classe et saura tenir en haleine les joueurs qui accepteront de relever au mieux le défi.
Les ambitions d'Assassin's Creed de créer un univers vaste, cohérent et vivant sont parfaitement soutenues par une réalisation particulièrement impressionnante. Le jeu allie tout simplement beauté et richesse, finesse et immensité. Les trois villes qui serviront de terrain de jeu à Altair sont ainsi vastes et complexes avec des inspirations architecturales et des teintes toujours différentes. Evoluer librement dans leurs ruelles et sur leurs toits est toujours un véritable plaisir dont on ne se lasse jamais. Jérusalem, Acre et Damas sont en plus débordantes de vie avec des badauds à n'en plus finir. Ca discute, ça marchande, ça mendie, ça se bagarre... On s'y croirait. Le réalisme est, en outre, renforcé par une ambiance sonore très réussie qui finit de planter idéalement le décor. La modélisation des personnages du jeu est également tout à fait flatteuse, mais ce sont surtout les animations qui retiennent l'attention tant elles paraissent aussi souples que naturelles. Malgré toutes ces qualités, Assassin's Creed souffre de petits accrocs avec un peu de clipping et de pop-up ou le manque de finesse de certains NPC et des textures plus brouillonnes que d'autres. Le jeu n'échappe pas non plus à quelques bugs de collision. Mais compte tenu de la taille et la beauté de l'aire de jeu, il serait bien malvenu de jouer à ce point les fines bouches. La version PS3 du jeu souffre, en revanche, d'un frame rate bien plus bas que celui de la Xbox 360, qui sait se maintenir lui à un niveau très confortable pour un titre de cette envergure.
Avec ses trois grandes villes, son Royaume, ses neufs assassinats principaux et ses nombreux objectifs secondaires, Assassin's Creed devrait retenir les apprentis criminels un sacré bout de temps. Compte tenu de la liberté d'action qu'il propose, la durée de vie effective sera vraiment aléatoire mais oscillera entre quinze et vingt heures en moyenne. On pourra même en ajouter une petite poignée pour les foufous qui auront à coeur de trouver l'ensemble des secrets disséminés dans le jeu et de grimper en haut de chaque Viewpoint. Malheureusement, Assassin's Creed ne propose pas vraiment de missions secondaires en dehors du sauvetage de citoyens parfois taquinés par un petit groupe de gardes qu'il conviendra d'occire pour être bien vu et bénéficier en retour d'une petite aide en cas de problème. Le jeu saura, en tout cas, réserver une bonne montée en puissance vers la fin. Mais, avant d'en arriver là, il faudra apprendre à devenir un véritable assassin et faire couler le sang. Beaucoup de sang.
Perso je trouve ce jeu génial ENORMEMENT de libertée dans le mouvement et les zones à découvrir et un trés bon systeme de déplacement et des graphismes super.

Comment l'avoir :
télécharger Azureus wuze ici:
http://french.eazel.com/tag/azureus+wuze.htm

Y trouver Assassin le télécharger et lancer le jeux avec un patch no-cd ( dés que j ai le temps je mettrais un lien )

et hop le tour est joué :p

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Re: [PC]- Assassin Creed

Message par Lapin Blanc » mar. mai 20, 2008 15:35

Je l'ai terminé sur PS3.
C'est très beau visuellement et très immersif. L'impression de liberté reste grande, néammoins les différentes missions d'assassinats sont très répétitives quand au niveau des enquêtes pour localiser sa cible. Au bout de la quatrième cela devient ennuyeux et on a envie de passer rapidement à la phase assassinat. les missions secondaires de recherche des étendards et d'élimination des templiers n'arrivent pas à faire oublier cette impression de répétition dans l'action.
Cela reste néammoins un excellent et beau jeu.
Le plus rageant reste le cliffhanger de la fin qui nous laisse dans l'expectative et nous assure une suite.

Zou, je repars à Liberty City avec GTA IV !! LE jeu de l'année. :numberone

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